Adolf Hitler serait aux origines de Volkswagen et notamment de la Coccinelle. Adolf Hitler aurait rencontré Ferdinand Porsche à ce propos et lui aurait parlé d'une voiture populaire pouvant transporter 5 personnes, atteindre une vitesse de croisière de 100 km/h, consommer environ 7 litres pour 100 km et ne coûtant pas plus de 1 000 Reich Marks. Le prototype fut appelé KdF-Wagen (Kraft durch Freude).
La propagande alliée répandit l'assertion qu'Hitler n'aurait eu qu'un seul testicule. À ce propos, les Alliés chantaient « Hitler has only one ball » (Hitler n'a qu'une boule), sur l'air du Pont de la rivière Kwai.
Une rumeur récurrente prétend qu'Hitler était seulement un peintre en bâtiment ; une caricature féroce de Sennep a peut-être contribué à ancrer la légende. Il a en fait laissé des aquarelles, certes sans génie particulier, mais qui témoignent, au moins, du fait qu'il était capable d'en peindre et qu'il possédait en tout cas de très bonnes bases dans cette technique. En revanche, il se peut que pendant ses années de galère, il ait été obligé d'accepter quelques petits boulots pour survivre.
Cinquante faux Carnets d'Hitler furent publiés en Allemagne par le magazine Stern en 1983, alors qu'ils avaient été réalisés par un faussaire nommé Konrad Kujau. Paris Match acheta à prix d'or l'exclusivité pour la France…
Il est établi qu'Hitler donna des ordres spécifiques pour que Johann Georg Elser, l'auteur de l'attentat de Munich qui aurait pu le tuer ne fût ni exécuté, ni même mis dans une situation où ses jours seraient en danger. Pourquoi ? Aucun historien n'a avancé d'hypothèse.
Il donna également des ordres pour qu'un certain nombre d'Allemands juifs s'étant distingués pendant la Première Guerre mondiale ne soient pas inquiétés. Ce point était à l'origine une demande de Hindenburg. Ce point de vue est à rapprocher de la phrase de Göring, « Je suis celui qui décide qui est Juif et qui ne l'est pas. »
Hitler fit inverser le sens du svastika (croix gammée) indien, signe de vie, comme pour en retourner aussi la signification (le « Viva la muerte » des phalanges espagnoles n'était pas loin) ; on remarquera aussi que le salut que Mussolini, repris par la suite par Hitler à partir de 1926, demandait de ses troupes était exactement celui des gladiateurs de l'empire romain saluant l'Empereur avant de mourir (le fameux rite du « Ave Caesar, morituri te salutant »).
Point que certains jugent négligé par la plupart des historiens : les doctrines mystiques dans lesquelles Hitler et d'autres responsables du nazisme auraient puisé leur inspiration pour l'élaboration de la politique national-socialiste, et les rapports que le Führer aurait entrenu avec l'univers des sciences occultes.
Il est souvent fait référence au fait qu'Hitler était végétarien. Cela serait dû à une prescription d'ordre médicale (qu'il ne respectait pas à la lettre). Albert Speer et Robert Payne, deux des plus importants biographes d'Hitler démontrent dans leurs livres qu'Hitler n'était pas végétarien. S'il l'était il n'aurait pas fait bannir les organisations végétariennes en Allemagne quand il est arrivé au pouvoir. Il arrêta leurs responsables et fit cesser de paraître la principale revue végétarienne publiée à Francfort. La persécution nazie força les végétariens allemands soit à quitter le pays, soit à vivre dans la clandestinité. Dione Lucas, qui a travaillé à l’hôtel Hamburg avant la guerre se souvient comment elle devait préparer pour Hitler son plat favori: « Je ne voudrais pas vous couper l’appétit pour le pigeon rôti », écrit-elle dans son livre de cuisine, « mais vous serez intéressé de savoir que c’était le plat favori de monsieur Hitler, qui dînait à l’hôtel très souvent ».